Hiroshima mon amour
d’après Marguerite Duras

adaptation et mise en scène : Giorgio Brasey
créé à Lausanne, Théâtre 2.21, du 8 au 27 avril 2008

TOURNEE 2010: Echandole (Yverdon), CCN (Neuchâtel), Teatro Comico (Sion), Alchimic (Genève)

interprétation : (Elle) Cathy Sottas, (Lui) Xavier Fernandez-Cavada à la création / Giorgio Brasey en tournée, (figuration) Milouda Ouri
équipe de réalisation : David Deppierraz (scénographie + photos) Nicolas Mayoraz, Guillaume Bétant (lumières et régie) Jeanne Quattropani (administration, graphisme et photos)
bande son réalisée à partir de musiques de Nino Rota

ce que l’histoire raconte
une quête identitaire, une recomposition de soi et une possible réconciliation avec soi-même

De même que dans l’amour cette illusion existe, cette illusion de pouvoir ne jamais oublier, de même j’ai eu l’illusion devant Hiroshima que jamais je n’oublierai. De même que dans l’amour.
Comme toi, moi aussi, j’ai essayé de lutter de toutes mes forces contre l’oubli. Comme toi, j’ai oublié.
(Marguerite Duras)


photos © Jeanne Quattropani

ce que cette histoire dit encore
La recherche de la paix est exprimée comme un désir d’oubli. Paradoxalement, elle révèle la nécessité d'un travail de mémoire.

Dans Hiroshima mon amour, l’érotisme conduit à l’amour. La sexualité des corps évolue vers une sexualité des consciences.

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